Un trou de mémoire
Dimanche dernier, je n’ai pas parlé de la Fête des Mères. Normal. Je n’écris plus le dimanche. Et j’ai perdu ma mère. Enfin, disons qu’elle s’est perdue elle-même dans les méandres d’une mémoire qui s’effrite et retourne se réfugier vers le passé, atteinte de démence qu’on appelle plus politiquement correctement maladie d’Alzheimer, ce qui ne change rien à l’affaire. Comme les débiles ou les mongoliens dont s’occupait ma mère et…